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La journaliste Inge Oosterhoff surprise par la collaboration étroite au Guardian

La journaliste Inge Oosterhoff surprise par la collaboration étroite au Guardian
2025-07-11 journalistiek

amsterdam, vrijdag, 11 juli 2025.
La journaliste Inge Oosterhoff partage ses expériences sur l’écriture d’un long article pour The Guardian US. Elle a été surprise par les retours détaillés et la collaboration étroite avec l’éditeur, ce qui lui a donné une vision plus précise de son histoire. L’article, de 6 000 mots, portait sur le rôle de la FIV dans la vie des couples infertiles et la critique de la mouvance chrétienne conservatrice à ce sujet. Oosterhoff, qui a suivi la formation MFA en journalisme littéraire à l’Université de New York en 2023, est fière du résultat final et a maintenant plus confiance en son travail.

Collaboration étroite et feedback détaillé

La journaliste Inge Oosterhoff partage ses expériences sur l’écriture d’un long article pour The Guardian US. Elle a été surprise par les retours détaillés et la collaboration étroite avec l’éditeur, ce qui lui a donné une vision plus précise de son histoire. L’article, de 6 000 mots, portait sur le rôle de la FIV dans la vie des couples infertiles et la critique de la mouvance chrétienne conservatrice à ce sujet. Oosterhoff, qui a suivi la formation MFA en journalisme littéraire à l’Université de New York en 2023, est fière du résultat final et a maintenant plus confiance en son travail [1].

Une nouvelle façon de travailler

Inge Oosterhoff a écrit un long article pour The Guardian US le mois dernier, découvrant ainsi une méthode de travail différente de celle à laquelle elle était habituée. Elle a discuté en détail des personnages prévus, de l’arc narratif et de la structure de l’histoire avec son éditeur. Plusieurs versions et discussions ont suivi, lors desquelles elle a reçu des retours de plus en plus détaillés. Après la dernière version, un reporter spécialisé en droits de la reproduction a posé des questions de fond, un vérificateur de faits a examiné toutes les sources et citations, et un avocat a conclu que l’article était juridiquement correct [1].

Résultat final : un article de 6 000 mots

Le résultat final était un article de 6 000 mots dont Oosterhoff est fière et en lequel elle a pleinement confiance. Elle a noté : ‘Je n’étais pas habituée à discuter mon travail de manière aussi approfondie, mais cela m’a aidée à garder une vue claire sur une histoire sur laquelle je serais autrement devenue aveugle.’ Oosterhoff, qui donne également des retours sur les versions de ses collègues et anime le cours d’écriture narrative avec Peter Zantingh, souligne la valeur de cette collaboration étroite [1].

Impact sur sa pratique journalistique

L’expérience au Guardian a non seulement aidé Oosterhoff à améliorer son style d’écriture, mais aussi enrichi sa compréhension des processus journalistiques. Elle voit maintenant la valeur des retours détaillés et de la collaboration étroite avec les éditeurs, ce qui l’aide à rendre ses histoires plus précises et mieux ciblées. Cette expérience lui a donné plus confiance en son travail et a renforcé son enthousiasme pour l’écriture narrative [1].

Sources