Baek Se-hee, auteure de 'Je veux mourir mais je veux manger du tteokbokki', décédée à 35 ans
seoul, vrijdag, 17 oktober 2025.
L’écrivaine sud-coréenne Baek Se-hee, connue pour son best-seller ‘Je veux mourir mais je veux manger du tteokbokki’, est décédée à l’âge de 35 ans. Son livre, publié en 2018, a acquis une renommée mondiale grâce à sa description honnête des problèmes de santé mentale et de la lutte contre la dépression. Les organes de Baek ont sauvé cinq vies après sa mort, ce que sa sœur considère comme un dernier acte d’amour. Son œuvre reste une source de réconfort et d’espoir pour des millions de lecteurs dans le monde entier.
Une vie de sens
Née en 1990, deuxième fille de trois sœurs à Goyang, dans la province de Gyeonggi, Baek Se-hee a étudié l’écriture créative à l’université et a travaillé pendant cinq ans dans une maison d’édition. Pendant cette période, elle a été diagnostiquée avec une dysthymie, une forme légère mais persistante de dépression, ce qui l’a conduite à suivre une thérapie. Ces expériences ont formé la base de son best-seller ‘Je veux mourir mais je veux manger du tteokbokki’, publié en 2018 [1][2][3][4].
Reconnaissance mondiale
Son livre, initialement écrit en coréen, a acquis une reconnaissance internationale après sa traduction en anglais en 2022. Il est devenu un phénomène culturel, avec plus d’un million d’exemplaires vendus dans le monde entier et des traductions dans 25 pays. Le livre est connu pour sa description honnête des problèmes de santé mentale et de la lutte contre la dépression, ce qui a suscité une forte résonance chez les lecteurs du monde entier [1][2][3][4].
Impact sur les discussions sur la santé mentale
Le livre de Baek a joué un rôle important dans la normalisation des discussions sur la santé mentale. Elle a parlé ouvertement de ses conflits intérieurs, tels que la contradiction entre les pensées dépressives et le plaisir de petites joies, comme manger du tteokbokki. Son livre a été célébré pour la manière dont il traitait ces émotions complexes et offrait de l’espoir aux personnes qui luttaient avec des problèmes similaires [1][2][3][4].
Un dernier acte d’amour
Après sa mort, Baek Se-hee a fait don de ses organes, sauvant ainsi la vie de cinq personnes. Sa sœur, Baek Da-hee, a décrit cela comme un dernier acte d’amour et l’a rappelée comme quelqu’un qui ‘voulait partager son cœur avec les autres à travers son écriture et espérait inspirer’. Sa sœur a ajouté : ‘Je sais que son cœur doux, qui a connu tant d’amour et n’a haï personne, peut maintenant trouver la paix au paradis’ [1][2][3][4].
Un héritage durable
L’influence de Baek Se-hee dépasse largement son histoire personnelle. Ses livres restent une source de réconfort et d’espoir pour des millions de lecteurs dans le monde entier. Son honnêteté et son courage ont ouvert la voie à des discussions plus ouvertes sur la santé mentale et ont positivement influencé de nombreuses vies [1][2][3][4].